. . . . . . "concert"@fr . . . . . "Roy Ayers" . . . . . . . "e12992" . . . . . "Roy Ayers\n Un peu r\u00E9ductrice que cette \u00E9tiquette de \u00AB parrain de l\u2019acid jazz \u00BB\u2026 Derri\u00E8re son vibraphone ou son microphone, Roy Ayers a pass\u00E9 toutes ses vies musicales \u00E0 brouiller les pistes, abattre les cloisons et \u00E9largir les esprits. Sans doute les effets du soleil de sa Californie natale o\u00F9 apr\u00E8s avoir fait ses classes sur la sc\u00E8ne purement jazz aux c\u00F4t\u00E9s de g\u00E9ants (Phineas Newborn, Herbie Mann, Hampton Hawes), il s\u2019est ouvertement tourn\u00E9 vers des sonorit\u00E9s plus groovy aux commandes notamment de son groupe Ubiquity. C\u2019est dans ce sensuel no man\u2019s land m\u00EAlant soul, jazz et funk que Roy Ayers continue \u00E0 creuser son sillon si personnel, maintes fois copi\u00E9 (et m\u00EAme sampl\u00E9 !) mais jamais \u00E9gal\u00E9. Une philosophie h\u00E9doniste r\u00E9sum\u00E9e dans son tubesque Everybody Loves The Sunshine de 1976.\n\n 1re partie\n Chlorine Free\n Sans chlore mais avec du groove ! Un groove jazz funk h\u00E9rit\u00E9 des Headhunters de Herbie Hancock mais propuls\u00E9 vers des \u00E9thers \u00E9lectro et hip-hop. Pour arriver \u00E0 ses fins, Chlorine Free d\u00E9balle rythmique maousse, claviers jouissivement vintage (Rhodes, Clavinet, synth\u00E9s), scratch incisif et cuivres choisis (fl\u00FBtes et trombones). Emmen\u00E9 par le bassiste Virgile Lorach, le groupe peut ainsi slalomer avec aisance entre funk fusion 70\u2019s et textures bien contemporaines. Une r\u00E9v\u00E9lation."@fr . "Roy Ayers\n Un peu r\u00E9ductrice que cette \u00E9tiquette de \u00AB parrain de l\u2019acid jazz \u00BB\u2026 Derri\u00E8re son vibraphone ou son microphone, Roy Ayers a pass\u00E9 toutes ses vies musicales \u00E0 brouiller les pistes, abattre les cloisons et \u00E9largir les esprits. Sans doute les effets du soleil de sa Californie natale o\u00F9 apr\u00E8s avoir fait ses classes sur la sc\u00E8ne purement jazz aux c\u00F4t\u00E9s de g\u00E9ants (Phineas Newborn, Herbie Mann, Hampton Hawes), il s\u2019est ouvertement tourn\u00E9 vers des sonorit\u00E9s plus groovy aux commandes notamment de son groupe Ubiquity. C\u2019est dans ce sensuel no man\u2019s land m\u00EAlant soul, jazz et funk que Roy Ayers continue \u00E0 creuser son sillon si personnel, maintes fois copi\u00E9 (et m\u00EAme sampl\u00E9 !) mais jamais \u00E9gal\u00E9. Une philosophie h\u00E9doniste r\u00E9sum\u00E9e dans son tubesque Everybody Loves The Sunshine de 1976.\n\n 1re partie\n Chlorine Free\n Sans chlore mais avec du groove ! Un groove jazz funk h\u00E9rit\u00E9 des Headhunters de Herbie Hancock mais propuls\u00E9 vers des \u00E9thers \u00E9lectro et hip-hop. Pour arriver \u00E0 ses fins, Chlorine Free d\u00E9balle rythmique maousse, claviers jouissivement vintage (Rhodes, Clavinet, synth\u00E9s), scratch incisif et cuivres choisis (fl\u00FBtes et trombones). Emmen\u00E9 par le bassiste Virgile Lorach, le groupe peut ainsi slalomer avec aisance entre funk fusion 70\u2019s et textures bien contemporaines. Une r\u00E9v\u00E9lation."@fr . "Roy Ayers" . . . . . . . . "1re partie : Chlorine Free" .