. . . . . . . . . "concert"@fr . . "Doulce m\u00E9moire - Claude Le Jeune" . "Le Printemps" . . "Le Printemps" . "Admir\u00E9 par Olivier Messiaen pour ses modes rythmiques tr\u00E8s modernes pour l\u2019\u00E9poque, Le Printemps de Claude Lejeune reste la r\u00E9f\u00E9rence absolue d\u2019une \u00AB musique mesur\u00E9e \u00E0 l\u2019antique \u00BB. Doulce M\u00E9moire en donne une lecture nouvelle, s\u2019appuyant sur \u00AB l\u2019imm\u00E9diatet\u00E9 et la puissance rythmique \u00BB du texte.\n\nNomm\u00E9 par Henri IV compositeur de la chambre du roi, Claude Le Jeune se distingua autant dans la musique sacr\u00E9e que profane. Olivier Messiaen voyait en lui un ma\u00EEtre, tant de l\u2019harmonie que de l\u2019\u00E9criture polyphonique. Auteur de nombreux psaumes, de madrigaux, de motets, son plus c\u00E9l\u00E8bre recueil demeure Le Printemps, ch\u0153urs a capella jusqu\u2019\u00E0 huit voix \u00AB mesur\u00E9s \u00E0 l\u2019antique \u00BB - la musique se conforme au rythme m\u00E9trique du texte, tel qu\u2019\u00E9dict\u00E9 par la prosodie classique. \u00C9dit\u00E9 \u00E0 titre posthume en 1603, ce recueil, s\u2019appuyant sur des textes de Jean-Antoine de Ba\u00EFf, b\u00E9n\u00E9ficie de l\u2019interpr\u00E9tation de l\u2019ensemble Doulce M\u00E9moire, avec \u00E0 sa t\u00EAte Denis Raisin Dadre, qui vient de l\u2019enregistrer."@fr . . "e18006" . "Admir\u00E9 par Olivier Messiaen pour ses modes rythmiques tr\u00E8s modernes pour l\u2019\u00E9poque, Le Printemps de Claude Lejeune reste la r\u00E9f\u00E9rence absolue d\u2019une \u00AB musique mesur\u00E9e \u00E0 l\u2019antique \u00BB. Doulce M\u00E9moire en donne une lecture nouvelle, s\u2019appuyant sur \u00AB l\u2019imm\u00E9diatet\u00E9 et la puissance rythmique \u00BB du texte.\n\nNomm\u00E9 par Henri IV compositeur de la chambre du roi, Claude Le Jeune se distingua autant dans la musique sacr\u00E9e que profane. Olivier Messiaen voyait en lui un ma\u00EEtre, tant de l\u2019harmonie que de l\u2019\u00E9criture polyphonique. Auteur de nombreux psaumes, de madrigaux, de motets, son plus c\u00E9l\u00E8bre recueil demeure Le Printemps, ch\u0153urs a capella jusqu\u2019\u00E0 huit voix \u00AB mesur\u00E9s \u00E0 l\u2019antique \u00BB - la musique se conforme au rythme m\u00E9trique du texte, tel qu\u2019\u00E9dict\u00E9 par la prosodie classique. \u00C9dit\u00E9 \u00E0 titre posthume en 1603, ce recueil, s\u2019appuyant sur des textes de Jean-Antoine de Ba\u00EFf, b\u00E9n\u00E9ficie de l\u2019interpr\u00E9tation de l\u2019ensemble Doulce M\u00E9moire, avec \u00E0 sa t\u00EAte Denis Raisin Dadre, qui vient de l\u2019enregistrer."@fr .