"Pascal Dusapin tire sa Disputatio d\u2019un dialogue th\u00E9ologique d\u2019Alcuin avec son novice P\u00E9pin. Cette discussion philosophique souvent malicieuse contraste avec le Requiem n\u00E9oclassique de Maurice Durufl\u00E9, compos\u00E9 en 1947.\n\nD\u2019inspiration n\u00E9oclassique, le Requiem est l\u2019\u0153uvre la plus importante \u00E9crite (en 1947) par Maurice Durufl\u00E9, \u00E9minent repr\u00E9sentant de l\u2019orgue symphonique fran\u00E7ais. Proche du Requiem de Faur\u00E9, il trahit en particulier l\u2019influence du chant gr\u00E9gorien ainsi que celle de la musique de la Renaissance. Il offre ici un contrepoint saisissant \u00E0 la Disputatio de Pascal Dusapin, nouvelle cr\u00E9ation puisant son \u00E9nergie premi\u00E8re dans le dialogue philosophique \u00F4 combien tonique entre Alcuin et son novice P\u00E9pin, fils de Charlemagne. A priori tr\u00E8s \u00E9loign\u00E9es l\u2019une de l\u2019autre, ces deux \u0153uvres sont mises en regard et interpr\u00E9t\u00E9es avec une m\u00EAme ferveur par le M\u00FCnchener Kammerorchester et le RIAS Kammerchor de Berlin, sous la direction d\u2019Alexander Liebreich."@fr . "Dusapin - Durufl\u00E9" . . . . . "e14535" . . . . . "concert"@fr . "M\u00FCnchener Kammerorchester - RIAS Kammerchor" . "Dusapin - Durufl\u00E9" . . . . . . . . . "Pascal Dusapin tire sa Disputatio d\u2019un dialogue th\u00E9ologique d\u2019Alcuin avec son novice P\u00E9pin. Cette discussion philosophique souvent malicieuse contraste avec le Requiem n\u00E9oclassique de Maurice Durufl\u00E9, compos\u00E9 en 1947.\n\nD\u2019inspiration n\u00E9oclassique, le Requiem est l\u2019\u0153uvre la plus importante \u00E9crite (en 1947) par Maurice Durufl\u00E9, \u00E9minent repr\u00E9sentant de l\u2019orgue symphonique fran\u00E7ais. Proche du Requiem de Faur\u00E9, il trahit en particulier l\u2019influence du chant gr\u00E9gorien ainsi que celle de la musique de la Renaissance. Il offre ici un contrepoint saisissant \u00E0 la Disputatio de Pascal Dusapin, nouvelle cr\u00E9ation puisant son \u00E9nergie premi\u00E8re dans le dialogue philosophique \u00F4 combien tonique entre Alcuin et son novice P\u00E9pin, fils de Charlemagne. A priori tr\u00E8s \u00E9loign\u00E9es l\u2019une de l\u2019autre, ces deux \u0153uvres sont mises en regard et interpr\u00E9t\u00E9es avec une m\u00EAme ferveur par le M\u00FCnchener Kammerorchester et le RIAS Kammerchor de Berlin, sous la direction d\u2019Alexander Liebreich."@fr .