. . . . . "London Symphony Orchestra - Bernard Haitink - Maria-Jo\u00E3o Pires" . "Bernard Haitink est une l\u00E9gende vivante de la direction d\u2019orchestre que le public parisien a la chance de pouvoir retrouver r\u00E9guli\u00E8rement depuis de nombreuses ann\u00E9es. Chacun des concerts que dirige le chef n\u00E9erlandais est un \u00E9v\u00E9nement et nous rappelle que celui qui succ\u00E9da en 1961 \u2013 il y a un demi-si\u00E8cle ! \u2013 \u00E0 Eduard van Beinum \u00E0 la t\u00EAte de l\u2019Orchestre du Concertgebouw d\u2019Amsterdam n\u2019a jamais cess\u00E9 depuis d\u2019approfondir, de renouveler ses interpr\u00E9tations du r\u00E9pertoire symphonique. Ici m\u00EAme, \u00E0 cinq ann\u00E9es d\u2019intervalle, Bernard Haitink a ainsi d\u00E9livr\u00E9 une double \u00AB le\u00E7on de style \u00BB dans Beethoven : \u00E0 la t\u00EAte de l\u2019Orchestre symphonique de Londres en 2006, avec l\u2019Orchestre de chambre d\u2019Europe en janvier 2011.\n De nouveau en compagnie des musiciens londoniens \u2013 et de la pianiste Maria-Jo\u00E3o Pires, avec qui il partage le go\u00FBt des textures claires \u2013, il propose deux programmes pareillement b\u00E2tis (une page de Purcell, un concerto de Mozart, une symphonie de grande envergure), mais offrant des parcours bien diff\u00E9renci\u00E9s. Le premier, plus sombre et dramatique, s\u2019ouvre avec l\u2019arrangement subtilement iconoclaste (pour vents et percussions) que l\u2019Am\u00E9ricain Steven Stucky a fait de la Funeral Music for Queen Mary, le Concerto en r\u00E9 mineur, intens\u00E9ment tragique puis la Septi\u00E8me Symphonie de Bruckner, monument fun\u00E8bre dress\u00E9 comme en hommage \u00E0 Wagner. Le second fait davantage place \u00E0 la lumi\u00E8re avec, apr\u00E8s la Chaconne en sol mineur de Purcell, le Concerto en la majeur de Mozart et la \u00AB grande \u00BB et rayonnante Neuvi\u00E8me Symphonie de Schubert."@fr . . . . . . "Bernard Haitink est une l\u00E9gende vivante de la direction d\u2019orchestre que le public parisien a la chance de pouvoir retrouver r\u00E9guli\u00E8rement depuis de nombreuses ann\u00E9es. Chacun des concerts que dirige le chef n\u00E9erlandais est un \u00E9v\u00E9nement et nous rappelle que celui qui succ\u00E9da en 1961 \u2013 il y a un demi-si\u00E8cle ! \u2013 \u00E0 Eduard van Beinum \u00E0 la t\u00EAte de l\u2019Orchestre du Concertgebouw d\u2019Amsterdam n\u2019a jamais cess\u00E9 depuis d\u2019approfondir, de renouveler ses interpr\u00E9tations du r\u00E9pertoire symphonique. Ici m\u00EAme, \u00E0 cinq ann\u00E9es d\u2019intervalle, Bernard Haitink a ainsi d\u00E9livr\u00E9 une double \u00AB le\u00E7on de style \u00BB dans Beethoven : \u00E0 la t\u00EAte de l\u2019Orchestre symphonique de Londres en 2006, avec l\u2019Orchestre de chambre d\u2019Europe en janvier 2011.\n De nouveau en compagnie des musiciens londoniens \u2013 et de la pianiste Maria-Jo\u00E3o Pires, avec qui il partage le go\u00FBt des textures claires \u2013, il propose deux programmes pareillement b\u00E2tis (une page de Purcell, un concerto de Mozart, une symphonie de grande envergure), mais offrant des parcours bien diff\u00E9renci\u00E9s. Le premier, plus sombre et dramatique, s\u2019ouvre avec l\u2019arrangement subtilement iconoclaste (pour vents et percussions) que l\u2019Am\u00E9ricain Steven Stucky a fait de la Funeral Music for Queen Mary, le Concerto en r\u00E9 mineur, intens\u00E9ment tragique puis la Septi\u00E8me Symphonie de Bruckner, monument fun\u00E8bre dress\u00E9 comme en hommage \u00E0 Wagner. Le second fait davantage place \u00E0 la lumi\u00E8re avec, apr\u00E8s la Chaconne en sol mineur de Purcell, le Concerto en la majeur de Mozart et la \u00AB grande \u00BB et rayonnante Neuvi\u00E8me Symphonie de Schubert."@fr . . "e11723" . . "London Symphony Orchestra - Bernard Haitink - Maria-Jo\u00E3o Pires" . "concert"@fr .