"e15126" . . . . . . . "V\u00EApres solennelles" . "Accentus - Insula Orchestra - Laurence Equilbey" . . . "Dans ses V\u00EApres de 1780, l\u2019\u00E9criture chorale de Mozart se tourne parfois vers le pass\u00E9, tandis que le Magnificat du fils de Bach regarde r\u00E9solument vers l\u2019avenir.\n\nLe tandem Accentus-Insula orchestra a fait ses preuves. Leur programme consacr\u00E9 au Requiem de Mozart, paru chez Na\u00EFve, a ainsi montr\u00E9 sans doute possible qu\u2019il existe entre les musiciens du jeune orchestre et les chanteurs de l\u2019ensemble vingtenaire une vraie complicit\u00E9. Profitant des richesses de ses deux phalanges, Laurence Equilbey les cornaque cette fois dans un r\u00E9pertoire qui met en regard Mozart \u2013 un compositeur o\u00F9 Insula, qui vient de participer \u00E0 la Mozartwoche de Salzbourg, est comme chez lui \u2013 et Carl Philipp Emmanuel Bach, dont Mozart disait : \u201CIl est le p\u00E8re, nous sommes ses enfants.\u201D Les V\u00EApres solennelles pour un confesseur (1780) de l\u2019un r\u00E9pondent au Magnificat (1749) de l\u2019autre, partition puissante o\u00F9 passent \u00E0 l\u2019occasion des \u00E9chos troublants de l\u2019\u0153uvre paternelle."@fr . . . "V\u00EApres solennelles" . . . . "Dans ses V\u00EApres de 1780, l\u2019\u00E9criture chorale de Mozart se tourne parfois vers le pass\u00E9, tandis que le Magnificat du fils de Bach regarde r\u00E9solument vers l\u2019avenir.\n\nLe tandem Accentus-Insula orchestra a fait ses preuves. Leur programme consacr\u00E9 au Requiem de Mozart, paru chez Na\u00EFve, a ainsi montr\u00E9 sans doute possible qu\u2019il existe entre les musiciens du jeune orchestre et les chanteurs de l\u2019ensemble vingtenaire une vraie complicit\u00E9. Profitant des richesses de ses deux phalanges, Laurence Equilbey les cornaque cette fois dans un r\u00E9pertoire qui met en regard Mozart \u2013 un compositeur o\u00F9 Insula, qui vient de participer \u00E0 la Mozartwoche de Salzbourg, est comme chez lui \u2013 et Carl Philipp Emmanuel Bach, dont Mozart disait : \u201CIl est le p\u00E8re, nous sommes ses enfants.\u201D Les V\u00EApres solennelles pour un confesseur (1780) de l\u2019un r\u00E9pondent au Magnificat (1749) de l\u2019autre, partition puissante o\u00F9 passent \u00E0 l\u2019occasion des \u00E9chos troublants de l\u2019\u0153uvre paternelle."@fr . . "concert"@fr . . . .