This HTML5 document contains 17 embedded RDF statements represented using HTML+Microdata notation.

The embedded RDF content will be recognized by any processor of HTML5 Microdata.

Namespace Prefixes

PrefixIRI
n14http://data.doremus.org/source/euterpe/
foafhttp://xmlns.com/foaf/0.1/
n2http://data.doremus.org/performance/
n10http://data.doremus.org/expression/
n4http://data.doremus.org/place/
dchttp://purl.org/dc/elements/1.1/
n7http://philharmoniedeparis.fr/fr/activite/
rdfshttp://www.w3.org/2000/01/rdf-schema#
n9http://data.doremus.org/organization/
n12http://data.doremus.org/performance/b962e690-b153-3b90-94c6-135d651e9424/
ecrmhttp://erlangen-crm.org/current/
rdfhttp://www.w3.org/1999/02/22-rdf-syntax-ns#
n13http://data.doremus.org/performance/b962e690-b153-3b90-94c6-135d651e9424/interval/
mushttp://data.doremus.org/ontology#
provhttp://www.w3.org/ns/prov#
xsdhhttp://www.w3.org/2001/XMLSchema#
n15http://data.doremus.org/activity/

Statements

Subject Item
n2:b962e690-b153-3b90-94c6-135d651e9424
rdf:type
mus:M26_Foreseen_Performance prov:Entity
rdfs:label
Murray Perahia
rdfs:comment
Dans un entretien au Guardian, Murray Perahia avouait aimer “les émotions complexes”. Ce récital l’atteste, qui unit la perfection des trésors classiques et les amples méditations romantiques. Depuis plus de quarante ans, Murray Perahia n’a jamais quitté les sphères de la célébrité. S’il dédaigne la virtuosité spectaculaire, lui-même possède une technique ancrée au fond du clavier, socle inébranlable sur lequel reposent ses interprétations. Le pianiste américain propose un programme solidement installé dans le classicisme, pimenté de quelques envolées romantiques. Si les Variations de Haydn planent au-dessus des contingences terrestres, la Sonate K. 310 de Mozart – un sommet de la série – séduit par la variété de ses caractères. À l’éventail d’états d’âme que déploie l’Opus 119 de Brahms, succède un événement : l’exécution par Murray Perahia de la plus terrible et colossale sonate de Beethoven, qu’il n’a jamais confiée au disque.
ecrm:P69_has_association_with
n12:1
prov:wasDerivedFrom
n14:15557
ecrm:P2_has_type
concert
mus:U8_foresees_time_span
n13:0
prov:wasAttributedTo
n9:DOREMUS
prov:wasGeneratedBy
n15:2fdc4135-d4d0-31cc-a3b2-e0b4c817e017
mus:U77_foresees_performing_plan
n10:6be6e790-59e4-3a30-97f7-c220b18d688c
ecrm:P102_has_title
Murray Perahia
mus:U7_foresees_place_at
n4:cc957954-e4cf-363f-98ff-23eae776c472 n4:bd21be9c-3f2b-3aa3-a460-114d579eabe6
dc:identifier
e15557
ecrm:P3_has_note
Dans un entretien au Guardian, Murray Perahia avouait aimer “les émotions complexes”. Ce récital l’atteste, qui unit la perfection des trésors classiques et les amples méditations romantiques. Depuis plus de quarante ans, Murray Perahia n’a jamais quitté les sphères de la célébrité. S’il dédaigne la virtuosité spectaculaire, lui-même possède une technique ancrée au fond du clavier, socle inébranlable sur lequel reposent ses interprétations. Le pianiste américain propose un programme solidement installé dans le classicisme, pimenté de quelques envolées romantiques. Si les Variations de Haydn planent au-dessus des contingences terrestres, la Sonate K. 310 de Mozart – un sommet de la série – séduit par la variété de ses caractères. À l’éventail d’états d’âme que déploie l’Opus 119 de Brahms, succède un événement : l’exécution par Murray Perahia de la plus terrible et colossale sonate de Beethoven, qu’il n’a jamais confiée au disque.
foaf:isPrimaryTopicOf
n7:15557