. "concert"@fr . . "Orchestre de Paris - Paavo J\u00E4rvi - Menahem Pressler" . "Orchestre de Paris - Paavo J\u00E4rvi - Menahem Pressler" . . . . "Paavo J\u00E4rvi admire particuli\u00E8rement Haydn, dont les symphonies d\u00E9fient l\u2019orchestre et attestent de sa bonne sant\u00E9 quand elles sont r\u00E9ussies. Chaque saison donc, celui qui enfant aimait les jouer au piano avec son p\u00E8re Neeme J\u00E4rvi, les inscrit \u00E0 ses concerts : voici la n\u00B0 84 In nomine Domini, une autre des symphonies parisiennes command\u00E9es \u00E0 Haydn par une soci\u00E9t\u00E9 de concerts de l\u2019\u00E9poque, les Concerts de la Loge Olympique. Elle se caract\u00E9rise par un recours cons\u00E9quent aux instruments \u00E0 vent. \n Cette premi\u00E8re partie du concert est toute classique, avec le Concerto pour piano n\u00B0 23 de Mozart, le plus connu de tous. Avec le n\u00B0 24, r\u00E9pondra t-on. Il est justement \u00E0 l\u2019affiche dans un mois. D\u2019ailleurs, il faut les \u00E9couter tous les deux, le premier plein d\u2019innocence, le second grave, plut\u00F4t que sombre.\n Et comme Paavo J\u00E4rvi aime chaque saison \u00E0 tenter l\u2019aventure musicale avec un jeune interpr\u00E8te, ce sera cette fois avec Menahem Pressler, incroyable et infatigable pianiste de 89 ans. \n Mais la soir\u00E9e n\u2019est pas termin\u00E9e car Paavo J\u00E4rvi entame ensuite un parcours des symphonies de Sibelius avec l\u2019Orchestre de Paris. \n La Premi\u00E8re symphonie ent\u00E9rine la d\u00E9cision de Sibelius d\u2019abandonner ses projets d\u2019op\u00E9ra et d\u2019oratorio pour se consacrer \u00E0 la musique purement orchestrale. Encore tr\u00E8s marqu\u00E9e par le Tcha\u00EFkovski de la symphonie Path\u00E9tique, c\u2019est une \u0153uvre tr\u00E8s physique. La musique est parcourue d\u2019une force contenue : climats, \u00E9lans soudains comme de brusques r\u00E9veils, une certaine rudesse dans les encha\u00EEnements : la marque de Sibelius est l\u00E0. Immanquable. Et Paavo J\u00E4rvi a \u00E0 nous dire sur cette musique."@fr . . . "Paavo J\u00E4rvi admire particuli\u00E8rement Haydn, dont les symphonies d\u00E9fient l\u2019orchestre et attestent de sa bonne sant\u00E9 quand elles sont r\u00E9ussies. Chaque saison donc, celui qui enfant aimait les jouer au piano avec son p\u00E8re Neeme J\u00E4rvi, les inscrit \u00E0 ses concerts : voici la n\u00B0 84 In nomine Domini, une autre des symphonies parisiennes command\u00E9es \u00E0 Haydn par une soci\u00E9t\u00E9 de concerts de l\u2019\u00E9poque, les Concerts de la Loge Olympique. Elle se caract\u00E9rise par un recours cons\u00E9quent aux instruments \u00E0 vent. \n Cette premi\u00E8re partie du concert est toute classique, avec le Concerto pour piano n\u00B0 23 de Mozart, le plus connu de tous. Avec le n\u00B0 24, r\u00E9pondra t-on. Il est justement \u00E0 l\u2019affiche dans un mois. D\u2019ailleurs, il faut les \u00E9couter tous les deux, le premier plein d\u2019innocence, le second grave, plut\u00F4t que sombre.\n Et comme Paavo J\u00E4rvi aime chaque saison \u00E0 tenter l\u2019aventure musicale avec un jeune interpr\u00E8te, ce sera cette fois avec Menahem Pressler, incroyable et infatigable pianiste de 89 ans. \n Mais la soir\u00E9e n\u2019est pas termin\u00E9e car Paavo J\u00E4rvi entame ensuite un parcours des symphonies de Sibelius avec l\u2019Orchestre de Paris. \n La Premi\u00E8re symphonie ent\u00E9rine la d\u00E9cision de Sibelius d\u2019abandonner ses projets d\u2019op\u00E9ra et d\u2019oratorio pour se consacrer \u00E0 la musique purement orchestrale. Encore tr\u00E8s marqu\u00E9e par le Tcha\u00EFkovski de la symphonie Path\u00E9tique, c\u2019est une \u0153uvre tr\u00E8s physique. La musique est parcourue d\u2019une force contenue : climats, \u00E9lans soudains comme de brusques r\u00E9veils, une certaine rudesse dans les encha\u00EEnements : la marque de Sibelius est l\u00E0. Immanquable. Et Paavo J\u00E4rvi a \u00E0 nous dire sur cette musique."@fr . . . "e12378" . . .