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| - Giacomo Carissimi (1605 - 1674) foi um compositor italiano. Desde os vinte e três anos até sua morte, Carissimi foi maestro di cappella em Sant'Appolinare, igreja do Cellegio Germanico jesuíta em Roma, renomado pela tradição musical. Com estilo simples mas eficiente consolidou a forma do oratório latino, usando a música como uma espécie de sermão para ilustrar vividamente um aspecto religioso. É famoso, também, por ter praticamente inventado a cantata, cujo texto em geral lida com o amo não-correspondido. Sabe-se que Carissimi era um prolífico autor de motetos e cantatas, embora muitas de suas composições tenham sido destruídas ou se perderam. (pt)
- Giacomo Carissimi (18 de abril de 1605 - Roma, 12 de enero de 1674) fue uno de los compositores italianos más eminentes de los comienzos del Barroco y uno de los principales representantes de la Escuela Romana. Elegido en 1649 maestro de capilla pontifical, introdujo en las iglesias el acompañamiento de la música instrumental y fue el primero que introdujo la cantata para temas religiosos. En 1656 conoció a la reina Cristina de Suecia, que se encontraba en el exilio, y compuso numerosas obras profanas en su honor. Entre sus obras destacan misas, oratorios, motetes y cantatas. (es)
- Giacomo Carissimi (Marino, gedoopt op 18 april 1605 - Rome, 12 januari 1674) was een Italiaans componist. Zijn exacte geboortedatum is niet bekend, maar was waarschijnlijk 1604 of 1605 in Marino, nabij Rome. Zijn vader was een kuiper. Giacomo werd op twintigjarige leeftijd kapelmeester in Assisi. In 1628 werd hij in dezelfde functie benoemd aan de Sant'Apollinare, de kerk van het Collegium Germanicum in Rome, waar hij tot zijn dood is gebleven. Hij werd in 1637 tot priester gewijd. Het graf van Carissimi is te vinden in de basiliek van Sant'Apollinare alle Terme Neroniane-Alessandrine in Rome. (nl)
- Giacomo Carissimi (baptized 18 April 1605 – 12 January 1674) was an Italian composer and music teacher. He is one of the most celebrated masters of the early Baroque or, more accurately, the Roman School of music. Carissimi established the characteristic features of the Latin oratorio and was a prolific composer of motets and cantatas. He was highly influential in musical developments in north European countries through his pupils and the wide dissemination of his music. (en)
- Giacomo Carissimi (getauft 18. April 1605 in Marino bei Rom; † 12. Januar 1674 in Rom) war ein italienischer Komponist. Carissimi wurde 1624 Kapellmeister in Assisi und 1628 an der Basilica minor Sant'Apollinare des Collegium Germanicum in Rom. In dieser eher bescheidenen Stellung entfaltete Carissimi eine durchgreifende Neuordnung fast aller Fächer der zeitgenössischen Musik. Carissimi wurde in Sant'Apollinare beerdigt. (de)
- Giacomo Carissimi (ochrzczony 18 kwietnia 1605 w Marino, zm. 12 stycznia 1674 w Rzymie) – włoski kompozytor i ksiądz katolicki. Obok Luigi Rossiego jest twórcą kantaty, pisał również msze i inne utwory kościelne. Jego nazwisko łączy się jednak przede wszystkim z twórczością oratoryjną, przy czym głównym osiągnięciem było ustalenie ostatecznej formy dwuczęściowego oratorium (dotąd opartego na dramatach liturgicznych i misteriach, będących dialogami o treści religijnej, w których muzyka grała rolę drugorzędną), na które składały się arie, recytatywy, ensamble, partie chóralne i instrumentalne. Napisał szereg oratoriów z tekstem łacińskim, spośród których najbardziej znane są: Jephte, Jonas, Judicium Salomonis, Extremum Judicium. Do tradycji oratoryjnej Carissimiego nawiązywali będący jego uc (pl)
- Giacomo Carissimi est un compositeur italien, baptisé à Marino, près de Rome, le 18 avril 1605 et mort à Rome le 12 janvier 1674. Il est l'un des plus éminents compositeurs de la période baroque et l'un des principaux représentants de l'école romaine. Sa vie est mal connue et seuls les évènements les plus importants sont certains. Il reste, pour ses héritiers, le plus grand compositeur du XVIIe siècle, « le plus grand compositeur que l'Italie ait produit » d'après Pierre Bourdelot et Pierre Bonnet en 1715. (fr)
- Джа́комо Кари́ссими (итал. Giacomo Carissimi; крещен 18 апреля 1605, Марино, под Римом — 12 января 1674, Рим) — итальянский композитор, представитель Римской школы музыки. (ru)
- جياكومو كاريسيمي (بالإنجليزية Giacomo Carissimi)(و. 18 أبريل 1605 - ت. 12 يناير 1674)مؤلف موسيقي إيطالي يذكر أساسا لإسهاماته في تطور الأوراتوريو. بعد 1600 بوقت قصير، صارت الألحان الدينية مثل قصص الإنجيل مواضيع للأوبرات وعرضت على المسرح. عالج كاريسيمي هذه الألحان كأعمال للكونسير، التي لم تعرض وعادة كانت تؤدى في الكنيسة. الموسيقى ما زالت تماثل الأوبرا المبكرة، لكن كاريسيمي دمج أقسام أكثر للكوراس وأضاف راوي واحد أو اكثر روى القصة في الرسيتاتيف. أعماله للأوراتوريو كلها بنصوص لاتينية تشمل Jephte،وJudicium Salomonis (حكم سليمان) وJonas (يونس) وBaltazar. (ar)
- ジャコモ・カリッシミ(Giacomo Carissimi, 1605年4月18日受洗 - 1674年1月12日 ローマ)はイタリア盛期バロック音楽の作曲家。ローマ楽派の作曲家として、とりわけ教会音楽で有名。 生い立ちについては何も知られていない。生年月日は不明だが、ローマ近郊マリーニにて1604年かその翌年に生まれている。父親は酒樽造りの職人だった。20歳でアッシジの礼拝堂の指揮者となる。1628年には、ローマのコレギウム・ゲルマニクム(ドイツ人神学校)附属の聖アポリナリス教会の楽長となり、死ぬまでその地位にあった。それにもかかわらず、しばしば高名な施設から招聘されており、ヴェネツィアの聖マルコ大寺院から、モンテヴェルディの後任楽長として就任を打診されたことがある。1637年には司祭に叙任された。イタリアを離れたことはなかったらしい。 教会音楽や室内カンタータの歴史においてカリッシミの占める位置は、オペラ史におけるフランチェスコ・カヴァッリの位置にいくぶん似ている。室内カンタータの発展においてカリッシミの先駆者にルイージ・デ・ロッシがいるものの、カリッシミはこの楽種を、室内楽の最も知的な表現手段とした最初の作曲家であり、カンタータのこのような役割は、A.スカルラッティやB.マルチェッロらが没するまで持続された。 (ja)
- Giacomo Carissimi (baptisé le 18 avril 1605, mort à Rome le 12 janvier 1674) fut un compositeur italien, l'un des plus éminents de la période baroque et un des principaux représentants de l'École romaine.
Il existe beaucoup de zones d'ombre dans sa vie dont on ne connaît que les grandes lignes.
Son père, Amico (1548-1633) exerce la profession de tonnelier. Il se marie avec Livia (1565-1622) le 14 mai 1595. Ils ont 7 enfants. Giacomo est le plus jeune. La date de sa naissance, à Marini près de Rome, n'est pas connue : elle se situe en 1605 ou, au plus tôt, en 1604[1]. Il étudia le chant et l'orgue à la cathédrale de Tivoli, travailla à Assise avant de s'installer à Rome.
Giacomo Carissimi s'établit à Assise, où il exerce la fonction de maître de chapelle à la cathédrale San-Ruffino entre 1628 et 1629.[2]
Il fut maître de chapelle à l'église du Collegio germanico à Rome de 1629 à sa mort. Il fut invité à Venise et à Vienne (Autriche) mais il déclina les postes proposés. Il eut de nombreux élèves dont Marc-Antoine Charpentier et Alessandro Scarlatti.
Choisi pour maître de la chapelle pontificale en 1649, il introduisit dans les églises l'accompagnement de la musique instrumentale, et fut le premier qui employa la cantate pour des sujets religieux. Il rencontre en 1656 la reine Christine de Suède en exil et composa de nombreuses pièces profanes en son honneur.
La plupart de ses oeuvres romaines ne sont connues que par des copies, les autographes ayant été dispersés ou détruits après la dissolution de l'ordre des jésuites en 1773.
Il reste pour ses héritiers le plus grand compositeur du XVIIe siècle (« le plus grand compositeur que l'Italie ait produit » d'après Pierre Bonnet en 1715)
On a de lui des messes, des oratorios, des motets et des cantates. On remarque surtout ses cantates le Sacrifice de Jephté et le Jugement de Salomon, son motet Turbabuntur impii.Jephte, oratorio sacré (fragment publié par Kircher, Musurgia)
Jonas, oratorio sacré
Balthazar, oratorio sacré
Judicium Salomonis, oratorio sacré (publié dans « Continuatio Theatri Musici » (1669), comme une composition de Samuel Bockshorn (Capricornus), mais considéré comme une oeuvre de Carissimi par Brossard, dans son « Dictionnaire de musique »
Dives Malus, oratorio sacré
Diluvium Universale, oratorio sacré
Extremum Dei Judicium, oratorio sacré (Copie au Conservatoire de Bruxelles)
Daniele, oratorio sacré (Manuscrit partiel au British Museum de Londres)
Histoire d' Abramo e Isacco, oratorio
Histoire d'Ezechia, oratorio
Histoire de Job, oratorio
Vir frugi et pater familias (manuscrit partiel à la Bibliothèque nationale de France)
Lamentatio Damnatorum (publié dans « Sacri Concerti Musicali »1697)
Felicitas beatorum, oratorio sacré
Martyres, oratorio sacré (manuscrit partiel à Hambourg et à Paris)
Missa a 5 et a 9 vocum selectis quibusdam Cantionibus, Colonia 1666
Missa l'Homme armé a 12 v. (manuscrit Cappella Laterana, Roma)
Messes (Bibliothèques : Amsterdam : Brittich Museum, Londres ; National-Bibliothek, Wien ; Bibliothèque de la cathédrale de Pistoja ; Conservatoire Martini de Bologne)
Motets (manuscrits 103, 68, 59, 3100, Staatsbibliothek Berlin)
L'impie ; Sur la Charité; Sur le Purgatoire, motets (Ms. Res. F. 934 a, Cons. Paris)
5 Motets (manuscrit à Christ Church, Oxford)
13 cantates profanes, Codex Chigi (dont Crolla il mondo) [manuscrit Biblioteca Varticana, Roma]
4 cantates profanes, Codex Barberini (dont I naviganti) [manuscrit Biblioteca Varticana, Roma]
39 cantates profanes, Bibliothèque de San Pietro a Maiella, Naples
Environ 14 cantates profanes, Bibliothèque du Conservatoire Cherubini à Florenz
10 Arias, dans le « Musicale Correr » de Venise
20 cantates profanes, Conservatoire Martini, Bologne;
31 cantates profanes, dans différents manuscrits (dont I Ciechi, I filosofi)
2 cantates extraites de Giudizio Universale, sur des textes de Domenico Benigni, Bibliotaca Estense, Modena (fr)
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| - Giacomo Carissimi (baptisé le 18 avril 1605, mort à Rome le 12 janvier 1674) fut un compositeur italien, l'un des plus éminents de la période baroque et un des principaux représentants de l'École romaine.
Il existe beaucoup de zones d'ombre dans sa vie dont on ne connaît que les grandes lignes.
Son père, Amico (1548-1633) exerce la profession de tonnelier. Il se marie avec Livia (1565-1622) le 14 mai 1595. Ils ont 7 enfants. Giacomo est le plus jeune. La date de sa naissance, à Marini près de Rome, n'est pas connue : elle se situe en 1605 ou, au plus tôt, en 1604[1]. Il étudia le chant et l'orgue à la cathédrale de Tivoli, travailla à Assise avant de s'installer à Rome.
Giacomo Carissimi s'établit à Assise, où il exerce la fonction de maître de chapelle à la cathédrale San-Ruffino entre 1628 et 1629.[2]
Il fut maître de chapelle à l'église du Collegio germanico à Rome de 1629 à sa mort. Il fut invité à Venise et à Vienne (Autriche) mais il déclina les postes proposés. Il eut de nombreux élèves dont Marc-Antoine Charpentier et Alessandro Scarlatti.
Choisi pour maître de la chapelle pontificale en 1649, il introduisit dans les églises l'accompagnement de la musique instrumentale, et fut le premier qui employa la cantate pour des sujets religieux. Il rencontre en 1656 la reine Christine de Suède en exil et composa de nombreuses pièces profanes en son honneur.
La plupart de ses oeuvres romaines ne sont connues que par des copies, les autographes ayant été dispersés ou détruits après la dissolution de l'ordre des jésuites en 1773.
Il reste pour ses héritiers le plus grand compositeur du XVIIe siècle (« le plus grand compositeur que l'Italie ait produit » d'après Pierre Bonnet en 1715)
On a de lui des messes, des oratorios, des motets et des cantates. On remarque surtout ses cantates le Sacrifice de Jephté et le Jugement de Salomon, son motet Turbabuntur impii.Jephte, oratorio sacré (fragment publié par Kircher, Musurgia)
Jonas, oratorio sacré
Balthazar, oratorio sacré
Judicium Salomonis, oratorio sacré (publié dans « Continuatio Theatri Musici » (1669), comme une composition de Samuel Bockshorn (Capricornus), mais considéré comme une oeuvre de Carissimi par Brossard, dans son « Dictionnaire de musique »
Dives Malus, oratorio sacré
Diluvium Universale, oratorio sacré
Extremum Dei Judicium, oratorio sacré (Copie au Conservatoire de Bruxelles)
Daniele, oratorio sacré (Manuscrit partiel au British Museum de Londres)
Histoire d' Abramo e Isacco, oratorio
Histoire d'Ezechia, oratorio
Histoire de Job, oratorio
Vir frugi et pater familias (manuscrit partiel à la Bibliothèque nationale de France)
Lamentatio Damnatorum (publié dans « Sacri Concerti Musicali »1697)
Felicitas beatorum, oratorio sacré
Martyres, oratorio sacré (manuscrit partiel à Hambourg et à Paris)
Missa a 5 et a 9 vocum selectis quibusdam Cantionibus, Colonia 1666
Missa l'Homme armé a 12 v. (manuscrit Cappella Laterana, Roma)
Messes (Bibliothèques : Amsterdam : Brittich Museum, Londres ; National-Bibliothek, Wien ; Bibliothèque de la cathédrale de Pistoja ; Conservatoire Martini de Bologne)
Motets (manuscrits 103, 68, 59, 3100, Staatsbibliothek Berlin)
L'impie ; Sur la Charité; Sur le Purgatoire, motets (Ms. Res. F. 934 a, Cons. Paris)
5 Motets (manuscrit à Christ Church, Oxford)
13 cantates profanes, Codex Chigi (dont Crolla il mondo) [manuscrit Biblioteca Varticana, Roma]
4 cantates profanes, Codex Barberini (dont I naviganti) [manuscrit Biblioteca Varticana, Roma]
39 cantates profanes, Bibliothèque de San Pietro a Maiella, Naples
Environ 14 cantates profanes, Bibliothèque du Conservatoire Cherubini à Florenz
10 Arias, dans le « Musicale Correr » de Venise
20 cantates profanes, Conservatoire Martini, Bologne;
31 cantates profanes, dans différents manuscrits (dont I Ciechi, I filosofi)
2 cantates extraites de Giudizio Universale, sur des textes de Domenico Benigni, Bibliotaca Estense, Modena (fr)
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