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| - Pour les articles homonymes, voir Leduc. Simon Le Duc, surnommé l'Aîné, né à Paris le 15 janvier 1742 et mort à Paris le 22 janvier 1777 (à 35 ans), est un violoniste et compositeur français. Son frère Pierre Leduc (1755–1818) fit également une carrière de violoniste et d'éditeur de musique. (fr)
- Simon Le Duc (Paris, 15 January 1742- 22 January 1777) was a French violinist, soloist at the Concert Spirituel, music publisher and composer. His younger brother, Pierre Le Duc (1755–1818), was also a violinist. It is not clear which of the two brothers was mentioned by mention of the violinist Le Duc in the letters of Mozart. (en)
- Simon Leduc l'ainé (auch Le Duc, * 15. Januar 1742 in Paris; † 22. Januar 1777 ebenda) war ein französischer Violinist und Komponist der Klassik. (de)
- Simon Le Duc, surnommé l'Ainé, né à Paris le 15 janvier 1742 et mort à Paris le 22 janvier 1777, est un violoniste et compositeur français.
Son frère Pierre Le Duc (1755-1818) fit également une carrière de violoniste.
Simon Leduc[1] a été élève de Pierre Gaviniès pour le violon. Il fut un artiste distingué en son temps, co-directeur du Concert Spirituel aux côtés de François-Joseph Gossec et Pierre Gaviniès entre 1773 et la date de son décès.
« Un mois après sa mort, on répétait une de ses symphonies, qui devait être exécutée au Concert des Amateurs le lendemain. Au milieu de l'adagio, le chevalier de Saint-Georges, attendri par l'expression du morceau, et se rappelant que son ami n'existait plus, laissa tomber son archet, et versa des larmes. Cet attendrissement se communiqua bientôt de proche en proche, et tous les concertans quittèrent leurs instrumens et se livrèrent à la plus vive douleur. (Alexandre-Etienne Choron et François-Joseph-Marie Fayolle)[2] ».
uvres gravés au XVIIIe siècle[modifier]Ces uvres sont citées par François-Joseph Fétis[3]
Sonates pour le violon avec accompagnement d'alto, ou de basse, ou de clavecin, op. 1 ; Paris, La Chevardière.
Premier concerto pour violon et orchestre, op. 2 ; Paris, La Chevardière.
Symphonies pour l'orchestre, op. 3 ; Paris, Bailleux.
Sonates pour violon avec accompagnement de basse, Ve livre, op. 4 ; Paris, La Chevardière.
Deuxième concerto pour violon, op. 5.
Trois symphonies pour l'orchestre, 2e livre ; Paris, Bailleux.
Symphonie concertante pour deux violons, op. 7; Paris, Bailleux. Il a été fait deux éditions de cette symphonie, qui a été exécutée au concert spirituel avec beaucoup de succès.
Sonate pour violon avec accompagnement de basse, uvre posthume.
uvres connues de nos jours[modifier]3 Symphonies, dont la n° 3 en mi bémol majeur
une symphonie concertante pour deux violons
3 concertos pour violon
Trio pour orchestre en sol mineur, opus 2, n°2, 1767
De la musique de chambre
uvres éditées[modifier]1957 : Simon Leduc, Symphonie en ré majeur [Musique imprimée]. Reconstitution par Fernand Oubradous : XVIIIe?-?XXe siècle : 11742-1957, Paris, Éditions musicales transatlantiques, 1957 (fr)
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| - Simon Le Duc, surnommé l'Ainé, né à Paris le 15 janvier 1742 et mort à Paris le 22 janvier 1777, est un violoniste et compositeur français.
Son frère Pierre Le Duc (1755-1818) fit également une carrière de violoniste.
Simon Leduc[1] a été élève de Pierre Gaviniès pour le violon. Il fut un artiste distingué en son temps, co-directeur du Concert Spirituel aux côtés de François-Joseph Gossec et Pierre Gaviniès entre 1773 et la date de son décès.
« Un mois après sa mort, on répétait une de ses symphonies, qui devait être exécutée au Concert des Amateurs le lendemain. Au milieu de l'adagio, le chevalier de Saint-Georges, attendri par l'expression du morceau, et se rappelant que son ami n'existait plus, laissa tomber son archet, et versa des larmes. Cet attendrissement se communiqua bientôt de proche en proche, et tous les concertans quittèrent leurs instrumens et se livrèrent à la plus vive douleur. (Alexandre-Etienne Choron et François-Joseph-Marie Fayolle)[2] ».
uvres gravés au XVIIIe siècle[modifier]Ces uvres sont citées par François-Joseph Fétis[3]
Sonates pour le violon avec accompagnement d'alto, ou de basse, ou de clavecin, op. 1 ; Paris, La Chevardière.
Premier concerto pour violon et orchestre, op. 2 ; Paris, La Chevardière.
Symphonies pour l'orchestre, op. 3 ; Paris, Bailleux.
Sonates pour violon avec accompagnement de basse, Ve livre, op. 4 ; Paris, La Chevardière.
Deuxième concerto pour violon, op. 5.
Trois symphonies pour l'orchestre, 2e livre ; Paris, Bailleux.
Symphonie concertante pour deux violons, op. 7; Paris, Bailleux. Il a été fait deux éditions de cette symphonie, qui a été exécutée au concert spirituel avec beaucoup de succès.
Sonate pour violon avec accompagnement de basse, uvre posthume.
uvres connues de nos jours[modifier]3 Symphonies, dont la n° 3 en mi bémol majeur
une symphonie concertante pour deux violons
3 concertos pour violon
Trio pour orchestre en sol mineur, opus 2, n°2, 1767
De la musique de chambre
uvres éditées[modifier]1957 : Simon Leduc, Symphonie en ré majeur [Musique imprimée]. Reconstitution par Fernand Oubradous : XVIIIe?-?XXe siècle : 11742-1957, Paris, Éditions musicales transatlantiques, 1957 (fr)
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