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| - Stewart Armstrong Copeland, né le 16 juillet 1952 à Alexandria, en Virginie, États-Unis, est le batteur du groupe The Police. Après leur séparation, il a joué dans d'autres groupes et composé des musiques de film (entre autres celle de Rusty James de Francis Ford Coppola). Stewart Copeland naît aux États-Unis dans la ville d'Alexandria, en Virginie. Il est le plus jeune d'une famille de 4 enfants. Très tôt dans sa vie, sa famille part vivre en Égypte, à Alexandrie. Sa mère, Lorraine Adie, est une archéologue spécialiste du paléolithique au Proche-orient. Son père, Miles Axe Copeland Junior, agent de la CIA, est responsable du bureau de Beyrouth, au Liban. Stewart étudie donc au lycée américain de Beyrouth, commence l'étude de la batterie à douze ans, et à treize ans joue de la batterie pour des écoles de danse. Après un passage en Angleterre, où il étudie à Millfield (Somerset) de 1967 à 1969, il part en Californie, où il suit notamment les cours de l'Université de Californie à Berkeley. Il retourne en Angleterre, travaillant en 1974 comme directeur de tournée du groupe de rock progressif Curved Air, dont il deviendra le batteur de 1975 à 1976. En 1977, Stewart Copeland avec le chanteur et bassiste Sting et le guitariste Henry Padovani (rapidement remplacé par Andy Summers), fondent le groupe The Police, qui deviendra un des groupes les plus connus des années 1980. Le groupe se sépara en 1984, suite à des tensions entre les membres, principalement entre Sting et Stewart. Une nouvelle tournée a eu lieu en 2007-2008. En parallèle de sa carrière avec The Police, Copeland a aussi enregistré sous le pseudonyme de Klark Kent plusieurs singles distribués en Grande Bretagne en 1978, dont le premier Don't Care est entré dans les charts britanniques. En 1980 sort un 25 cm enregistré au studio Surrey Sound Studio de Nigel Gray réunissant 8 singles, Copeland jouant tous les instruments en re-recording.Son style est facilement reconnaissable : une frappe puissante, rapide, nerveuse et le plus souvent en avant du temps (il précise dans une vidéo que son professeur de batterie en Egypte lui avait appris une technique de percussion orientale consistant à toujours jouer "décalé juste avant le temps", à la double croche avant la pulsation) pour donner du groove aux autres instruments. Le son de caisse claire est très tendu et mat. Stewart Copeland s'est largement inspiré des batteurs et des rythmes reggae qu'il a accélérés tout en déplaçant quelques accents. Stewart a véritablement marqué toute une génération de batteurs. Stewart Copeland prend en fait le contre-pied de la génération précédente qui se satisfaisait d'un « soft beat » très sourd et répétitif à la manière des Eagles. Très vite, un ingénieur du son va l'aider à sortir la sonorité caractéristique du groupe Police, pierre angulaire du trio, en réglant très haut le rendu de sa grosse caisse. Stewart Copeland n'hésite pas ainsi à faire le « beat » avec son pied droit, libérant du coup sa main gauche en délaissant la caisse claire (sauf pour les refrains) et en utilisant du matériel de percussion (octobans) et des effets spéciaux (echo, delay...). Illustration de cette technique très élaborée, le morceau Walking on the Moon (album Reggatta de Blanc) est un modèle du genre qui a fait date dans l'histoire du « reggae blanc » de Police. Copeland est un des rares batteurs de rock à utiliser la prise tambour plus volontiers que la prise timbale. Stewart Copeland continue de se produire dans le cadre de différents projets musicaux, mélangeant volontiers les influences. La cinquantaine passée, l'énergie de l'ex-batteur de Police reste intacte devant ses fûts. (fr)
- EX MEMBRE DE POLICE
A FAIT PARTIE DU GROUPE GIZMO
A ECRIT ET JOUE SOUS LE PSEUDO DE KLARK KENT (fr)
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| - Stewart Armstrong Copeland, né le 16 juillet 1952 à Alexandria, en Virginie, États-Unis, est le batteur du groupe The Police. Après leur séparation, il a joué dans d'autres groupes et composé des musiques de film (entre autres celle de Rusty James de Francis Ford Coppola). Stewart Copeland naît aux États-Unis dans la ville d'Alexandria, en Virginie. Il est le plus jeune d'une famille de 4 enfants. Très tôt dans sa vie, sa famille part vivre en Égypte, à Alexandrie. Sa mère, Lorraine Adie, est une archéologue spécialiste du paléolithique au Proche-orient. Son père, Miles Axe Copeland Junior, agent de la CIA, est responsable du bureau de Beyrouth, au Liban. Stewart étudie donc au lycée américain de Beyrouth, commence l'étude de la batterie à douze ans, et à treize ans joue de la batterie pour des écoles de danse. Après un passage en Angleterre, où il étudie à Millfield (Somerset) de 1967 à 1969, il part en Californie, où il suit notamment les cours de l'Université de Californie à Berkeley. Il retourne en Angleterre, travaillant en 1974 comme directeur de tournée du groupe de rock progressif Curved Air, dont il deviendra le batteur de 1975 à 1976. En 1977, Stewart Copeland avec le chanteur et bassiste Sting et le guitariste Henry Padovani (rapidement remplacé par Andy Summers), fondent le groupe The Police, qui deviendra un des groupes les plus connus des années 1980. Le groupe se sépara en 1984, suite à des tensions entre les membres, principalement entre Sting et Stewart. Une nouvelle tournée a eu lieu en 2007-2008. En parallèle de sa carrière avec The Police, Copeland a aussi enregistré sous le pseudonyme de Klark Kent plusieurs singles distribués en Grande Bretagne en 1978, dont le premier Don't Care est entré dans les charts britanniques. En 1980 sort un 25 cm enregistré au studio Surrey Sound Studio de Nigel Gray réunissant 8 singles, Copeland jouant tous les instruments en re-recording.Son style est facilement reconnaissable : une frappe puissante, rapide, nerveuse et le plus souvent en avant du temps (il précise dans une vidéo que son professeur de batterie en Egypte lui avait appris une technique de percussion orientale consistant à toujours jouer "décalé juste avant le temps", à la double croche avant la pulsation) pour donner du groove aux autres instruments. Le son de caisse claire est très tendu et mat. Stewart Copeland s'est largement inspiré des batteurs et des rythmes reggae qu'il a accélérés tout en déplaçant quelques accents. Stewart a véritablement marqué toute une génération de batteurs. Stewart Copeland prend en fait le contre-pied de la génération précédente qui se satisfaisait d'un « soft beat » très sourd et répétitif à la manière des Eagles. Très vite, un ingénieur du son va l'aider à sortir la sonorité caractéristique du groupe Police, pierre angulaire du trio, en réglant très haut le rendu de sa grosse caisse. Stewart Copeland n'hésite pas ainsi à faire le « beat » avec son pied droit, libérant du coup sa main gauche en délaissant la caisse claire (sauf pour les refrains) et en utilisant du matériel de percussion (octobans) et des effets spéciaux (echo, delay...). Illustration de cette technique très élaborée, le morceau Walking on the Moon (album Reggatta de Blanc) est un modèle du genre qui a fait date dans l'histoire du « reggae blanc » de Police. Copeland est un des rares batteurs de rock à utiliser la prise tambour plus volontiers que la prise timbale. Stewart Copeland continue de se produire dans le cadre de différents projets musicaux, mélangeant volontiers les influences. La cinquantaine passée, l'énergie de l'ex-batteur de Police reste intacte devant ses fûts. (fr)
- EX MEMBRE DE POLICE
A FAIT PARTIE DU GROUPE GIZMO
A ECRIT ET JOUE SOUS LE PSEUDO DE KLARK KENT (fr)
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