Attributes | Values |
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type
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label
| - Concertos. Piano, orchestre
- Concerto pour piano
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comment
| - Dédié à Elaine de Kooning. Le Concerto pour piano représente en quelque sorte le manifeste des conceptions de John Cage en cette fin des années cinquante, conceptions que l'on peut rassembler sous la notion d'indeterminacy (indétermination). La démarche cagienne vise à abandonner le concept occidental traditionnel de l'oeuvre d'art comme produit fermé sur lui-même, fruit de la volonté d'un compositeur, reproductible par des interprètes avec une relative stabilité dans le temps. Le concerto comprend treize parties instrumentales et une partie de piano solo aucunement coordonnées entre elles. Chaque partie est de taille variable, entre douze et seize pages, sauf la partie de piano, plus volumineuse, qui en comprend soixante-trois. Chaque partie est "composée" de lignes parcourues d'événements isolés les uns des autres, sans rapport de durée entre eux. Pour l'exécution, la partition précise d'ailleurs : "tous les sons doivent être séparés les uns des autres dans le temps, précédés et suivis par un silence même bref". Les instrumentistes sont d'ailleurs libres de choisir dans ce matériel ce qu'ils vont jouer effectivement, avec les durées de leur choix, et ce qu'ils vont omettre. L'exécution de l'oeuvre peut comprendre un nombre quelconque de parties pouvant aller jusqu'à zéro, c'est-à-dire une exécution totalement silencieuse. L'essentiel des choix de jeu sont donc reportés sur les interprètes, sauf la durée globale de l'exécution choisie à l'avance et commune à tous. (fr)
- Créé à New York , Town Hall, par David Tudor au piano, et un ensemble dirigé par Merce Cunningham. (fr)
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| - Concerto pour piano et orchestre
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| - Concertos. Piano, orchestre
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| - Dédié à Elaine de Kooning. Le Concerto pour piano représente en quelque sorte le manifeste des conceptions de John Cage en cette fin des années cinquante, conceptions que l'on peut rassembler sous la notion d'indeterminacy (indétermination). La démarche cagienne vise à abandonner le concept occidental traditionnel de l'oeuvre d'art comme produit fermé sur lui-même, fruit de la volonté d'un compositeur, reproductible par des interprètes avec une relative stabilité dans le temps. Le concerto comprend treize parties instrumentales et une partie de piano solo aucunement coordonnées entre elles. Chaque partie est de taille variable, entre douze et seize pages, sauf la partie de piano, plus volumineuse, qui en comprend soixante-trois. Chaque partie est "composée" de lignes parcourues d'événements isolés les uns des autres, sans rapport de durée entre eux. Pour l'exécution, la partition précise d'ailleurs : "tous les sons doivent être séparés les uns des autres dans le temps, précédés et suivis par un silence même bref". Les instrumentistes sont d'ailleurs libres de choisir dans ce matériel ce qu'ils vont jouer effectivement, avec les durées de leur choix, et ce qu'ils vont omettre. L'exécution de l'oeuvre peut comprendre un nombre quelconque de parties pouvant aller jusqu'à zéro, c'est-à-dire une exécution totalement silencieuse. L'essentiel des choix de jeu sont donc reportés sur les interprètes, sauf la durée globale de l'exécution choisie à l'avance et commune à tous. (fr)
- Créé à New York , Town Hall, par David Tudor au piano, et un ensemble dirigé par Merce Cunningham. (fr)
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