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| - L’énigme existentielle de Charles Ives précède trois œuvres riches de sentiments forts : la fièvre du Concerto pour violon no 2 de Bartók, interprété par Renaud Capuçon ; la passion tragique de La Mort de Cléopâtre de Berlioz et la ferveur épique du Taras Bulba de Janácek.
D’une étonnante économie de moyens, l’œuvre de Charles Ives fait figure d’aphorisme mystérieux : la question demeure sans réponse. Le Concerto pour violon no 2 de Bartók, créé en 1939 – un des sommets du genre –, captive par son énergie exacerbée et son expressionisme haletant. Avec sa cantate La Mort de Cléopâtre, Berlioz, concourait en 1829 pour la troisième fois au prix de Rome qu’il finit par remporter. L’œuvre, dont la richesse rythmique et mélodique enchâsse comme un joyau l’histoire d’amour et de mort de Cléopâtre et d’Antoine, trouve en Stéphanie d’Oustrac une interprète de choix. Le Taras Bulba de Janácek, d’après Gogol, œuvre poignante dédiée au célèbre chef cosaque, véritable maelström de sentiments et hymne à la liberté, dessine en filigrane l’espoir du compositeur de voir le peuple tchèque se libérer du joug austro-hongrois et accéder à son indépendance. (fr)
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| - Jakub Hrusa - Renaud Capuçon - Stéphanie D'Oustrac - Vincent Warnier - Ives, Bartok, Berlioz, Janacek
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| - L’énigme existentielle de Charles Ives précède trois œuvres riches de sentiments forts : la fièvre du Concerto pour violon no 2 de Bartók, interprété par Renaud Capuçon ; la passion tragique de La Mort de Cléopâtre de Berlioz et la ferveur épique du Taras Bulba de Janácek.
D’une étonnante économie de moyens, l’œuvre de Charles Ives fait figure d’aphorisme mystérieux : la question demeure sans réponse. Le Concerto pour violon no 2 de Bartók, créé en 1939 – un des sommets du genre –, captive par son énergie exacerbée et son expressionisme haletant. Avec sa cantate La Mort de Cléopâtre, Berlioz, concourait en 1829 pour la troisième fois au prix de Rome qu’il finit par remporter. L’œuvre, dont la richesse rythmique et mélodique enchâsse comme un joyau l’histoire d’amour et de mort de Cléopâtre et d’Antoine, trouve en Stéphanie d’Oustrac une interprète de choix. Le Taras Bulba de Janácek, d’après Gogol, œuvre poignante dédiée au célèbre chef cosaque, véritable maelström de sentiments et hymne à la liberté, dessine en filigrane l’espoir du compositeur de voir le peuple tchèque se libérer du joug austro-hongrois et accéder à son indépendance. (fr)
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