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type
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label
| - Orchestre de Paris - Paavo Järvi - Matthias Goerne
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comment
| - Voici un concert au point d’intersection de deux grands panoramas inscrits dans cette saison de l’Orchestre de Paris, celui des poèmes symphoniques de Richard Strauss et celui des trois cycles de Schubert.
Les deux compositeurs ont en commun une immense production de lieder, qui se chiffre chez l’un comme chez l’autre en centaines. Matthias Goerne a choisi ici parmi ceux dont l’accompagnement – initialement au piano – fut orchestré dans un second temps, offrant ainsi deux versions d’une même œuvre. Dans cette relecture, ce redimensionnement pourrait-on dire, les compositeurs sont allés d’eux-mêmes vers des lieder suggérant l’espace, l’ambiance (Morgen, le matin chez Strauss ; Abendrot, le coucher de soleil chez Schubert), mais aussi des œuvres dont le lyrisme et les émotions pouvaient appeler une traduction d’une nouvelle ampleur, à l’échelle de l’orchestre.
Paavo Järvi a choisi d’associer à ce programme un troisième compositeur dont l’univers évoque autant le chant que l’orchestre : Schumann. Son Manfred est une œuvre étrange adaptée du poète romantique Byron. Certaines parties sont chantées, d'autres parlées sur un fond symphonique, dans une parenté avec la Damnation de Faust de Berlioz. L’Ouverture très dramatique est souvent donnée en concert. La Première symphonie est à peine antérieure. Elle est toute entière sous le signe d’une joie radieuse. Schumann vient d’épouser Clara, il entend la Neuvième symphonie de Schubert en concert et en quelques jours conçoit sa première partition orchestrale. (fr)
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Les deux compositeurs ont en commun une immense production de lieder, qui se chiffre chez l’un comme chez l’autre en centaines. Matthias Goerne a choisi ici parmi ceux dont l’accompagnement – initialement au piano – fut orchestré dans un second temps, offrant ainsi deux versions d’une même œuvre. Dans cette relecture, ce redimensionnement pourrait-on dire, les compositeurs sont allés d’eux-mêmes vers des lieder suggérant l’espace, l’ambiance (Morgen, le matin chez Strauss ; Abendrot, le coucher de soleil chez Schubert), mais aussi des œuvres dont le lyrisme et les émotions pouvaient appeler une traduction d’une nouvelle ampleur, à l’échelle de l’orchestre.
Paavo Järvi a choisi d’associer à ce programme un troisième compositeur dont l’univers évoque autant le chant que l’orchestre : Schumann. Son Manfred est une œuvre étrange adaptée du poète romantique Byron. Certaines parties sont chantées, d'autres parlées sur un fond symphonique, dans une parenté avec la Damnation de Faust de Berlioz. L’Ouverture très dramatique est souvent donnée en concert. La Première symphonie est à peine antérieure. Elle est toute entière sous le signe d’une joie radieuse. Schumann vient d’épouser Clara, il entend la Neuvième symphonie de Schubert en concert et en quelques jours conçoit sa première partition orchestrale. (fr)
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