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| - Après avoir gravé magistralement le Trio de Tchaïkovski, Nikolaï Lugansky, Leonidas Kavakos et Gautier Capuçon se retrouvent en conviant aussi Brahms pour l’occasion.
Rencontre entre trois artistes au sommet de leur carrière. Entre Lugansky, maître ès piano, qui prodigue en concert un rare sentiment d’aisance, Kavakos, un des archets les plus brillants de la scène actuelle, et Capuçon, qui perpétue avec fougue et intensité la grande tradition de l’école française de violoncelle, le contact s’est établi à Londres en 2009. À un des trois trios de Brahms, lesquels charrient leur lot de bravoure et de sensibilité chaleureuse, succède l’épopée de celui de Tchaïkovski, “à la mémoire d’un grand artiste”. Un hommage d’autant plus émouvant que constamment digne du grand compositeur russe à Nicolas Rubinstein, fondateur en 1866 du Conservatoire de Moscou, mort à Paris en 1881, également dédicataire du célèbre Premier Concerto pour piano. (fr)
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| - Après avoir gravé magistralement le Trio de Tchaïkovski, Nikolaï Lugansky, Leonidas Kavakos et Gautier Capuçon se retrouvent en conviant aussi Brahms pour l’occasion.
Rencontre entre trois artistes au sommet de leur carrière. Entre Lugansky, maître ès piano, qui prodigue en concert un rare sentiment d’aisance, Kavakos, un des archets les plus brillants de la scène actuelle, et Capuçon, qui perpétue avec fougue et intensité la grande tradition de l’école française de violoncelle, le contact s’est établi à Londres en 2009. À un des trois trios de Brahms, lesquels charrient leur lot de bravoure et de sensibilité chaleureuse, succède l’épopée de celui de Tchaïkovski, “à la mémoire d’un grand artiste”. Un hommage d’autant plus émouvant que constamment digne du grand compositeur russe à Nicolas Rubinstein, fondateur en 1866 du Conservatoire de Moscou, mort à Paris en 1881, également dédicataire du célèbre Premier Concerto pour piano. (fr)
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