Attributes | Values |
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type
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label
| - Anniversaire Yuri Temirkanov
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comment
| - Yuri Temirkanov fête cette année ses quatre-vingts ans, dont trente passés à la tête de l’Orchestre philharmonique de Saint-Pétersbourg. Il est rejoint par Gil Shaham pour le Concerto de Beethoven. C’est avec les compositeurs de la première école de Vienne (Haydn, Mozart) que se sont fixées les grandes lignes des formes classiques, celles de la sonate, du quatuor, du concerto, de la symphonie. Beethoven, à leur suite, a poussé ces formes jusqu’à leur conférer une tension qui lui est propre. Certaines de ses partitions, cependant, comme la Symphonie pastorale ou le Concerto pour violon, qu’interprète ici Gil Shaham, aspirent à davantage de sérénité. Un siècle plus tard, Gustav Mahler poussera encore plus loin la forme de la symphonie, mais éprouvera lui aussi le besoin, parfois, de revenir vers un paradis perdu. La Quatrième Symphonie appartient à cette veine où la douceur reprend une partie de ses droits. Elle s’achève sur un lied d’une tendresse merveilleuse, et l’on attend beaucoup de la rencontre entre la voix de Kristine Opolais et les timbres de l’Orchestre philharmonique de Radio France emmené par Yuri Temirkanov, qui fête en 2018 son quatre-vingtième anniversaire. (fr)
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| - Orchestre Philharmonique de Radio France - Yuri Temirkanov - Gil Shaham - Kristine Opolais
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| - Yuri Temirkanov fête cette année ses quatre-vingts ans, dont trente passés à la tête de l’Orchestre philharmonique de Saint-Pétersbourg. Il est rejoint par Gil Shaham pour le Concerto de Beethoven. C’est avec les compositeurs de la première école de Vienne (Haydn, Mozart) que se sont fixées les grandes lignes des formes classiques, celles de la sonate, du quatuor, du concerto, de la symphonie. Beethoven, à leur suite, a poussé ces formes jusqu’à leur conférer une tension qui lui est propre. Certaines de ses partitions, cependant, comme la Symphonie pastorale ou le Concerto pour violon, qu’interprète ici Gil Shaham, aspirent à davantage de sérénité. Un siècle plus tard, Gustav Mahler poussera encore plus loin la forme de la symphonie, mais éprouvera lui aussi le besoin, parfois, de revenir vers un paradis perdu. La Quatrième Symphonie appartient à cette veine où la douceur reprend une partie de ses droits. Elle s’achève sur un lied d’une tendresse merveilleuse, et l’on attend beaucoup de la rencontre entre la voix de Kristine Opolais et les timbres de l’Orchestre philharmonique de Radio France emmené par Yuri Temirkanov, qui fête en 2018 son quatre-vingtième anniversaire. (fr)
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