Attributes | Values |
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type
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label
| - Orchestre de Paris / Yuri Temirkanov / Leonidas Kavakos
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comment
| - Dans sa Symphonie « Classique » de 1916, Prokofiev retrouve l’esprit de Haydn. Quant à la suite du Lac des cygnes, elle fut compilée en 1900, après la mort de Tchaïkovski. Entre les deux, le Deuxième Concerto pour violon de Prokofiev, aux contours virtuoses et fantasques fait contraste.
Enfant terrible de la Russie, moderne et irrévérencieux, Prokofiev – avant de fuir son pays en 1918 – compose quelques partitions éclatantes de précocité. Il avait 25 ans au moment de sa Symphonie « Classique », en 1915 et la guerre faisait rage. Prokofiev justifie ainsi le titre de sa symphonie : « d'abord pour la simplicité du titre, ensuite pour provoquer les philistins, et avec l'espoir de vraiment gagner si la symphonie devait se révéler réellement classique ». Moins classique, le Deuxième Concerto pour piano, composé en 1913 surprend par sa modernité et son envergure. Tchaïkovski, lui, se tiendra toujours à l’écart des chemins de l’avant-garde pour demeurer, avec splendeur et inspiration, dans la grande tradition russe. La suite orchestrale du Lac des cygnes en est le plus bel exemple. (fr)
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Enfant terrible de la Russie, moderne et irrévérencieux, Prokofiev – avant de fuir son pays en 1918 – compose quelques partitions éclatantes de précocité. Il avait 25 ans au moment de sa Symphonie « Classique », en 1915 et la guerre faisait rage. Prokofiev justifie ainsi le titre de sa symphonie : « d'abord pour la simplicité du titre, ensuite pour provoquer les philistins, et avec l'espoir de vraiment gagner si la symphonie devait se révéler réellement classique ». Moins classique, le Deuxième Concerto pour piano, composé en 1913 surprend par sa modernité et son envergure. Tchaïkovski, lui, se tiendra toujours à l’écart des chemins de l’avant-garde pour demeurer, avec splendeur et inspiration, dans la grande tradition russe. La suite orchestrale du Lac des cygnes en est le plus bel exemple. (fr)
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