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| - Murray Perahia fête ses 70 ans avec Beethoven et les musiciens de l’Academy of Saint Martin in the Fields, qu’il dirige, dans le prolongement de son intégrale des concertos gravée dès la fin des années 1980, depuis le clavier.
Beethoven, Murray Perahia le connaît en profondeur : il l’a joué et rejoué, étudié aussi (ainsi, c’est à lui que l’on doit la révision des sonates pour le célèbre éditeur Henle). Rien d’étonnant, donc, à ce qu’il entraîne ses complices de l’Academy of Saint Martin in the Fields, dont il est le chef principal invité depuis 2000 – mais qu’il fréquente depuis les années 1970 –, dans une intégrale des concertos du maître, donnée chez eux à Londres mais aussi en tournée. Ce concert en est la première étape : il fait dialoguer le lumineux et encore très mozartien Premier Concerto avec le Troisième, par lequel Beethoven affirme sans doute possible et avec génie un ton éminemment personnel. (fr)
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| - Murray Perahia fête ses 70 ans avec Beethoven et les musiciens de l’Academy of Saint Martin in the Fields, qu’il dirige, dans le prolongement de son intégrale des concertos gravée dès la fin des années 1980, depuis le clavier.
Beethoven, Murray Perahia le connaît en profondeur : il l’a joué et rejoué, étudié aussi (ainsi, c’est à lui que l’on doit la révision des sonates pour le célèbre éditeur Henle). Rien d’étonnant, donc, à ce qu’il entraîne ses complices de l’Academy of Saint Martin in the Fields, dont il est le chef principal invité depuis 2000 – mais qu’il fréquente depuis les années 1970 –, dans une intégrale des concertos du maître, donnée chez eux à Londres mais aussi en tournée. Ce concert en est la première étape : il fait dialoguer le lumineux et encore très mozartien Premier Concerto avec le Troisième, par lequel Beethoven affirme sans doute possible et avec génie un ton éminemment personnel. (fr)
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