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| - Bouleversante page que le Huitième Quatuor de Chostakovitch ! Écrite en trois jours, en juillet 1960, après une visite dans la ville de Dresde dévastée par les bombardements, l’œuvre est dédiée « aux victimes du fascisme et de la guerre ». Pourtant, minimisant la portée de cette dédicace, le compositeur déclara dans ses Mémoires : « On la qualifia d’office de “dénonciation du fascisme”. Pour dire cela, il fallait être à la fois aveugle et sourd. Car, dans ce quatuor, tout est clair comme dans un abécédaire. »
Truffée de citations de ses propres œuvres (Lady Macbeth, la Première Symphonie, le thème juif du Deuxième Trio…), traversée par sa signature musicale (DSCH), la partition est en effet une sorte d’épitaphe pour Chostakovitch lui-même, qui songeait sérieusement au suicide dans ces années de plomb. (fr)
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| - Bouleversante page que le Huitième Quatuor de Chostakovitch ! Écrite en trois jours, en juillet 1960, après une visite dans la ville de Dresde dévastée par les bombardements, l’œuvre est dédiée « aux victimes du fascisme et de la guerre ». Pourtant, minimisant la portée de cette dédicace, le compositeur déclara dans ses Mémoires : « On la qualifia d’office de “dénonciation du fascisme”. Pour dire cela, il fallait être à la fois aveugle et sourd. Car, dans ce quatuor, tout est clair comme dans un abécédaire. »
Truffée de citations de ses propres œuvres (Lady Macbeth, la Première Symphonie, le thème juif du Deuxième Trio…), traversée par sa signature musicale (DSCH), la partition est en effet une sorte d’épitaphe pour Chostakovitch lui-même, qui songeait sérieusement au suicide dans ces années de plomb. (fr)
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