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| - En trois concerts donnés à l’Opéra Bastille et à la Philharmonie, Philippe Jordan, à la tête de l’Orchestre de l’Opéra de Paris, propose une intégrale des symphonies de Tchaïkovski mettant chaque fois en regard une partition de jeunesse et une page plus tardive.
Dernier volet de l’intégrale des symphonies de Tchaïkovski par Philippe Jordan à la tête de l’Orchestre de l’Opéra de Paris. À travers ce programme, le compositeur russe se déploie dans ses extrêmes. D’un côté, la Troisième Symphonie, dite « Polonaise », l’unique symphonie en mode majeur, toute de rythmes et de danses, dans laquelle l’expression subjective disparaît au profit d’un langage orchestral universel. De l’autre, l’ultime Sixième Symphonie dite « Pathétique », bouleversante confession d’un homme désespéré qui disparaîtra neuf jours après avoir dirigé la première triomphale de l’œuvre en 1893. L’utilisation d’un choral tiré du Requiem Orthodoxe (« Qu'il repose avec les Saints ! ») fit dire que Tchaïkovski avait écrit là son propre requiem, qui culmine dans un vaste lamento funèbre, entre révolte et résignation. (fr)
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| - Orchestre de l'Opéra national de Paris - Philippe Jordan
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| - En trois concerts donnés à l’Opéra Bastille et à la Philharmonie, Philippe Jordan, à la tête de l’Orchestre de l’Opéra de Paris, propose une intégrale des symphonies de Tchaïkovski mettant chaque fois en regard une partition de jeunesse et une page plus tardive.
Dernier volet de l’intégrale des symphonies de Tchaïkovski par Philippe Jordan à la tête de l’Orchestre de l’Opéra de Paris. À travers ce programme, le compositeur russe se déploie dans ses extrêmes. D’un côté, la Troisième Symphonie, dite « Polonaise », l’unique symphonie en mode majeur, toute de rythmes et de danses, dans laquelle l’expression subjective disparaît au profit d’un langage orchestral universel. De l’autre, l’ultime Sixième Symphonie dite « Pathétique », bouleversante confession d’un homme désespéré qui disparaîtra neuf jours après avoir dirigé la première triomphale de l’œuvre en 1893. L’utilisation d’un choral tiré du Requiem Orthodoxe (« Qu'il repose avec les Saints ! ») fit dire que Tchaïkovski avait écrit là son propre requiem, qui culmine dans un vaste lamento funèbre, entre révolte et résignation. (fr)
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