| Attributes | Values |
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| type
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| label
| - Royal Concertgebouw Orchestra Amsterdam
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| comment
| - Le pianiste brésilien Nelson Freire interprète le Cinquième Concerto de Beethoven qu’il joua pour la première fois, à l’âge de douze ans, dans sa ville natale de Rio de Janeiro.
Unanimement loué pour ses interprétations de Mahler depuis que Willem Mengelberg, à la tête de l’orchestre de 1895 à 1945, a fait de ses musiciens des spécialistes du répertoire, l’Orchestre du Concertgebouw continue d’honorer cette tradition sans faiblir un seul instant. L’arrivée de Mariss Jansons (qui a récemment donné son dernier concert en tant que chef principal) à la tête de l’ensemble en 2004 lui avait donné un nouveau souffle, dont témoignent les enregistrements parus sous le propre label de l’orchestre, RCO Live, tout comme le Mahler Project qui avait mené la phalange sur les routes européennes de 2009 à 2011. Ici, c’est Semyon Bychkov, un autre habitué du podium au Concertgebouw, qui prend la baguette pour la trop rare Septième Symphonie, que l’orchestre amstellodamois fut parmi les premiers à enregistrer (en 1958 avec Eduard von Beinum). En regard, le Concerto “Empereur” de Beethoven, interprété par Nelson Freire, qui l’a récemment gravé – après cinquante ans de fréquentation – pour Decca. (fr)
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| - Semyon Bychkov - Nelson Freire
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| - Le pianiste brésilien Nelson Freire interprète le Cinquième Concerto de Beethoven qu’il joua pour la première fois, à l’âge de douze ans, dans sa ville natale de Rio de Janeiro.
Unanimement loué pour ses interprétations de Mahler depuis que Willem Mengelberg, à la tête de l’orchestre de 1895 à 1945, a fait de ses musiciens des spécialistes du répertoire, l’Orchestre du Concertgebouw continue d’honorer cette tradition sans faiblir un seul instant. L’arrivée de Mariss Jansons (qui a récemment donné son dernier concert en tant que chef principal) à la tête de l’ensemble en 2004 lui avait donné un nouveau souffle, dont témoignent les enregistrements parus sous le propre label de l’orchestre, RCO Live, tout comme le Mahler Project qui avait mené la phalange sur les routes européennes de 2009 à 2011. Ici, c’est Semyon Bychkov, un autre habitué du podium au Concertgebouw, qui prend la baguette pour la trop rare Septième Symphonie, que l’orchestre amstellodamois fut parmi les premiers à enregistrer (en 1958 avec Eduard von Beinum). En regard, le Concerto “Empereur” de Beethoven, interprété par Nelson Freire, qui l’a récemment gravé – après cinquante ans de fréquentation – pour Decca. (fr)
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