Attributes | Values |
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type
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label
| - Simón Bolívar Youth Orchestra Venezuela
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comment
| - Parmi la jeune génération de chefs d’orchestre, le nom de Gustavo Dudamel se détache avec constance depuis déjà quelques années. À seulement vingt-huit ans, il impressionne par son charisme. Nombre d’orchestres – et non des moindres – se sont déjà laissé convaincre. En 2005, après le remplacement au pied levé de Neeme Järvi dans la Cinquième Symphonie de Sibelius, l’Orchestre symphonique de Göteborg le désigna comme son nouveau chef principal, et, en septembre 2009, il succèdera à Esa-Pekka Salonen à la tête de l’Orchestre Philharmonique de Los Angeles.
L’une des clés de l’engouement pour le jeune chef vénézuélien est sans conteste sa personnalité très affirmée, marquée par son attirance pour des interprétations rythmées et colorées. Ce n’est pas par hasard qu’il ouvre le premier des deux concerts parisiens de l’Orchestre symphonique Simón Bolívar avec le poème symphonique Santa Cruz de Pacairigua, oeuvre la plus célèbre de son compatriote Evencio Castellanos (1915-1984), qu’il a enregistrée pour Deutsche Grammophon aux côtés d’autres pages luxuriantes latinoaméricaines. Invité par les plus prestigieux orchestres à travers le monde (Chicago, New York, Berlin, Vienne, Amsterdam…), il travaille régulièrement avec l’Orchestre Philharmonique de Radio France, qui se joint aux jeunes musiciens vénézuéliens pour la partie française du concert du 23 octobre (la deuxième suite de Daphnis et Chloé de Ravel et la Symphonie fantastique de Berlioz).
Le lendemain, un programme russe attend le chef et son orchestre – il le dirige depuis dix ans – et devrait être l’occasion d’une démonstration de panache et de virtuosité. (fr)
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| - Gustavo Dudamel - Renaud Capuçon
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| - Parmi la jeune génération de chefs d’orchestre, le nom de Gustavo Dudamel se détache avec constance depuis déjà quelques années. À seulement vingt-huit ans, il impressionne par son charisme. Nombre d’orchestres – et non des moindres – se sont déjà laissé convaincre. En 2005, après le remplacement au pied levé de Neeme Järvi dans la Cinquième Symphonie de Sibelius, l’Orchestre symphonique de Göteborg le désigna comme son nouveau chef principal, et, en septembre 2009, il succèdera à Esa-Pekka Salonen à la tête de l’Orchestre Philharmonique de Los Angeles.
L’une des clés de l’engouement pour le jeune chef vénézuélien est sans conteste sa personnalité très affirmée, marquée par son attirance pour des interprétations rythmées et colorées. Ce n’est pas par hasard qu’il ouvre le premier des deux concerts parisiens de l’Orchestre symphonique Simón Bolívar avec le poème symphonique Santa Cruz de Pacairigua, oeuvre la plus célèbre de son compatriote Evencio Castellanos (1915-1984), qu’il a enregistrée pour Deutsche Grammophon aux côtés d’autres pages luxuriantes latinoaméricaines. Invité par les plus prestigieux orchestres à travers le monde (Chicago, New York, Berlin, Vienne, Amsterdam…), il travaille régulièrement avec l’Orchestre Philharmonique de Radio France, qui se joint aux jeunes musiciens vénézuéliens pour la partie française du concert du 23 octobre (la deuxième suite de Daphnis et Chloé de Ravel et la Symphonie fantastique de Berlioz).
Le lendemain, un programme russe attend le chef et son orchestre – il le dirige depuis dix ans – et devrait être l’occasion d’une démonstration de panache et de virtuosité. (fr)
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