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| - Restituées par le brillant Louis Lortie, l’élégance et la virtuosité de Frédéric Chopin contrastent avec les sombres interrogations et les aspirations à la sérénité véhiculées par Chostakovitch.
D’un côté, une musique dénuée de tout contexte politique, celle du Concerto pour piano en fa mineur composé par Frédéric Chopin en Pologne en 1829. Dans cette partition, le piano est aussi virtuose qu’élégant, s’inspirant du bel canto italien. De l’autre, la Dixième Symphonie de Dimitri Chostakovitch, composée en 1953, peu après la mort de Staline, dans une Russie soviétique traumatisée par autant de dureté et d’interdits. C’est seulement dans le dernier mouvement de cette œuvre que l’oppression se dissipe, dans un élan libératoire. Deux mondes musicaux très lointains donc, tant par les circonstances de leur création que par leur style. Et pourtant, c’est bien l’idée de « liberté » qui jaillit de ce programme : la liberté trouvée par Chopin dans l’expression d’une virtuosité totalement maîtrisée qui lui permettait désormais de faire chanter son piano ; la liberté réclamée par Chostakovitch après avoir été écrasé par un régime politique des plus oppressifs. (fr)
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| - Orchestre national d'Île-de-France - Jacek Kasprzyk - Louis Lortie - Chopin, Chostakovitch
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| - Restituées par le brillant Louis Lortie, l’élégance et la virtuosité de Frédéric Chopin contrastent avec les sombres interrogations et les aspirations à la sérénité véhiculées par Chostakovitch.
D’un côté, une musique dénuée de tout contexte politique, celle du Concerto pour piano en fa mineur composé par Frédéric Chopin en Pologne en 1829. Dans cette partition, le piano est aussi virtuose qu’élégant, s’inspirant du bel canto italien. De l’autre, la Dixième Symphonie de Dimitri Chostakovitch, composée en 1953, peu après la mort de Staline, dans une Russie soviétique traumatisée par autant de dureté et d’interdits. C’est seulement dans le dernier mouvement de cette œuvre que l’oppression se dissipe, dans un élan libératoire. Deux mondes musicaux très lointains donc, tant par les circonstances de leur création que par leur style. Et pourtant, c’est bien l’idée de « liberté » qui jaillit de ce programme : la liberté trouvée par Chopin dans l’expression d’une virtuosité totalement maîtrisée qui lui permettait désormais de faire chanter son piano ; la liberté réclamée par Chostakovitch après avoir été écrasé par un régime politique des plus oppressifs. (fr)
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